Mortaises

5 balles dans la tête

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(…). Je suis sortie de la pièce et j’ai été vraiment chamboulée, je me suis dit OK là je viens de vivre quelque chose. (…) C’est vraiment une pièce événement. Allez-y ça vaut la peine ! » - Catherine Brisson, Puisqu’il faut se lever – 98,5 FM

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« Un moment théâtral immense, bouleversant, hors du commun, cet état des sens privilégié où le regard (ce fameux gaze) se transforme en voyeurisme consommé, où l’ouïe, qui fait semblant de ne pas vouloir entendre, ajuste ses oreilles pour ne rien rater de ce qui se dit et se dira. » - Élie Castiel, KinoCulture Montréal.

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« Le théâtre sert parfois à ça, explorer les failles, les injustices de la nature humaine, pour nous rendre plus ouverts aux réalités des autres. Et 5 balles dans la tête le fait admirablement bien, grâce au jeu des acteurs et à la mise en scène sensible de François Bernier. (…) Le texte de Roxanne Bouchard pose des questions essentielles sur l’échange des opinions contraires.  – Luc Boulanger, LA PRESSE (8/10)

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Ensemble

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« Comme son titre l’indique, Ensemble se vit comme une expérience collective. Même en distanciation physique, il se dégage une impression de proximité de cette proposition, qui documente de manière sensible un épisode éprouvant qui a pu diviser, mais qui a aussi donné lieu à maintes expériences communes. Geneviève Bouchard, Le Soleil, 27 mai 2021

« C’était un véritable exutoire. (...) Ça nous permet de partager ça ensemble.  Personne ne parle, mais tout le monde lève la main, on rigole, mais il y a aussi des sujets très touchants.  Comme, qui a déjà eu des idées noires?... Et même si on ne connait pas les autres spectateurs qui nous entourent quand on voit quelques mains se lever, je vous jure c’est extrêmement poignant. » Première Heure, Radio-Canada, Québec, 28 mai 2021

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« Le Théâtre DuBunker a réussi à orchestrer un exercice théâtral engageant, bienveillant et touchant, dont on sort apaisé·e, un peu bousculé·e, mais avec l’impression que chaque fil de réflexion né lors des derniers mois a trouvé une place dans nos cerveaux échaudés. Un ménage intellectuel et émotionnel bienvenu. (...) avec une progression efficace et sans fausse note.

Josiane Desloges, Revue Jeu, 28 mai 2021

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Le NoShow

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« Le NoShow, c’est la répétition générale de ce que peut être un spectateur conscient, engagé, prêt à jouer, prêt à être meilleur, aussi. »

Marie-Hélène Constant – Revue Liberté, printemps 2015

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Ils sont sept filles et garçons avec un engagement et une liberté phénoménales à nous mettre, l'air de rien, face à nos responsabilités, tout en criant – en riant aussi – leur amour du théâtre. Courez vite vivre l'expérience ! » Emmanuelle Bouchez – Télérama – novembre 2015

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« Ce spectacle [est une] grande fête à la fois jubilatoire et pertinente. Dans un esprit ludique, les spectateurs sont habilement amenés à réfléchir sur l’art et sur la valeur du travail des artistes. Un spectacle actuel et déstabilisant.»                  

            Le comité de sélection du Conseil des Arts et des Lettres du Québec, qui a décerné au            NoShow le prix Oeuvre de l'année dans la Capitale-Nationale – 22 mai 2015

 

« Le NoShow s’avère une réussite sur toute la ligne. Un spectacle brillant, génial et essentiel. […] Le NoShow, avec sa finale touchante et libératrice, est une délicieuse et cruelle prise de conscience sur les réalités entourant le métier de comédien de théâtre. Une pièce incontournable, essentielle et à voir absolument.»          

Yves Leclerc – Journal de Québec –  27 avril 2015

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«Vaste et politique sujet empoigné ici avec une verve qui ne craint jamais la fragilité, voire la cultive.  « Le NoShow » pourrait se contenter de ce discours.  Or il le laisse se contaminer au contact du « plus vrai que vrai », et soudain prend une ampleur, une douceur, une profondeur inattendues, qui dépassent les effets – par ailleurs efficaces – pour toucher l'essentiel.               Marie Baudet, La Libre Belgique, 14-15 juin 2014

 

« Quoi de mieux pour ouvrir le FTA, un événement international de création contemporaine, qu’un spectacle qui restitue avec autant de conviction la situation terriblement précaire des jeunes artistes ? Devant un pareil état des lieux, des témoignages aussi diversifiés et qui sonnent aussi juste, on s’émeut autant qu’on grince des dents, on s’insurge aussi souvent qu’on éclate de rire. (…) D’une confondante humanité. »  

Christian St-Pierre – Le Devoir  (juin 2014)